12,27 m par seconde : telle est la vitesse maximale atteinte par le coureur jamaïquain Usain Bolt lorsqu'il a battu le record du monde du 100 m en 2009. Soit plus de 44 km/h.
Les 46 chromosomes porteurs du génome humain, avec leurs quelques micromètres, représentent une forme très condensée de l'ADN.
Déroulées et mises bout à bout, leurs doubles hélices mesureraient 2 mètres ! Or, elles se trouvent dans toutes les cellules du corps, soit environ 50.000 milliards de cellules si l'on excepte les quelques 25.000 milliards de globules rouges, qui sont dépourvus d'ADN. Nous sommes donc riches d'environ 100 milliards de kilomètres d'ADN, soit 260.000 fois la distance Terre-Lune !
12 semaines d'entrainement régulier suffisent pour que l'on observe chez une personne non sportive une amélioration de 10 % de ses capacités physique.
1000 par kilomètre, c'est le nombre de fois que le pied d'un coureur entre en contact avec le sol. L'impact correspond alors à une force équivalent à 3 à 4 fois le poids du corps.
180 os du squelette humain (soit environ 85 % de celui-ci) sont impliqués directement dans des mouvements du corps aussi basiques que lever un bras, saisir un objet avec la main ou écarter les doigts.
75 km/h : c'est la vitesse que peut atteindre un homme sur un vélo de course professionnel à la seule force de ses muscles.
35 % : c'est la proportion supplémentaire de globules rouges dont dispose un individu pratiquant un sport d'endurance. Chez les sportifs de haut niveau, cette proportion additionnelle atteint 55 %. Les globules rouges transportent l'oxygène jusqu'aux cellules.
2000 fibres musculaires sont activées par 1 seule cellule nerveuse lors de la contraction du volumineux quadriceps de la cuisse. Dans le cas de mouvements plus minimes, tels que les mimiques du visage, 1 cellule nerveuse n'active que 10 fibres musculaires.
200 litres d'air sont expirés et inspirés lors d'un effort intense en 1 minute par 1 personne bien entraînée. Au repos, ce volume se réduit à seulemnt 6 à 8 litres d'air.